Nous annonçons aujourd’hui une nouvelle collaboration entre Uber Canada et le Centre canadien pour mettre fin à la traite des personnes, (le Centre) visant à éduquer les chauffeurs d’Uber du Canada sur la traite des personnes.
Les chauffeurs d’Uber partenaires et, de manière plus générale, les gens impliqués dans le secteur du transport jouent un rôle essentiel dans la lutte visant à mettre un terme à cet abus des droits de la personne. Ensemble, Uber Canada et le Centre développent des ressources pratiques et du matériel pour la formation des conducteurs et font la promotion de la Ligne d’urgence canadienne contre la traite des personnes, lancée récemment.
La traite des personnes est un crime à faible risque et à profits élevés pour les trafiquants, et ces derniers utilisent souvent divers moyens de transport, incluant le covoiturage, pour se procurer les services leur permettant de faciliter l’exploitation de personnes vulnérables qui se trouvent dans une multitude de communautés canadiennes. Les déplacements fréquents des victimes ont pour but de les garder isolés et permettent aux trafiquants d’éviter d’être repérés par la police. Les chauffeurs d’Uber partenaires, comme les autres membres de la communauté, peuvent jouer un rôle critique en identifiant et en signalant les cas suspects de traite à la Ligne d’urgence canadienne contre la traite des personnes; une ligne sans frais, confidentielle et ouverte 24 h/j et 365 j/a, au 1-833-900-1010.
Uber a collaboré avec des organisations engagées dans la lutte contre la traite des personnes aux États-Unis, telles que le National Center for Missing and Exploited Children (NCMEC), ECPAT-USA et le McCain Institute, pour aider les conducteurs à identifier et signaler les cas de traite des personnes, et maintenant, elle est fière d’étendre ses efforts au Canada. En collaborant avec le Centre, Uber Canada offrira bientôt aux conducteurs partenaires une façon proactive de s’informer et de se sentir habilités à joindre la Ligne d’urgence canadienne contre la traite des personnes s’ils croient qu’une situation est suspecte. Cette collaboration est la première étape pour transformer la conscientisation à la traite des personnes en action.